J'aspire au bleu des étendues
Amarrées à la nuit des temps
Qui sèment dans d'obscurs néants
Des espérances éperdues
Amarrées à la nuit des temps
Qui sèment dans d'obscurs néants
Des espérances éperdues
Et j'aspire aux libertés nues
Qui déroulent aux quatre vents
Comme de grands pavillons blancs
Leurs évidences ingénues.
Qui déroulent aux quatre vents
Comme de grands pavillons blancs
Leurs évidences ingénues.
Être libre et riche d'espoir
Voilà qui rend fort dans le noir
Des fatalités minérales
Voilà qui rend fort dans le noir
Des fatalités minérales
Par delà les rouges enfers
J'aspire et crois dur comme fer
Aux fraternités sidérales.
J'aspire et crois dur comme fer
Aux fraternités sidérales.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire