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Si tant est qu'une comète
Fusant dans l'espace noir
Soit chargée du même espoir
Qu'un vibrionnant gamète
Si tant est que cette miette
De l’Univers puisse avoir
Un secret bon à savoir
Par l’Homme en sa pauvre tête
Alors, qu’en son parcours fou
La machinerie futile
Accrochée à son caillou
S’engloutisse comme une île
Et livre en forme d’adieux
Quelque signe merveilleux... |
Magnifique !
RépondreSupprimerJe me dis qu'il faut quand même que je commente vos billets, moi qui me plaint ne point voir les miens adornés de quelques remarques.
Plus que jamais, aimons la liberté et fuyons la servitude que nous impose une clique d'imbéciles (au sens de BERNANOS) qui savent touit, disent-ils, mais ne savent que ça.
Je corrige une horrible faute :
RépondreSupprimer"Moi qui me plains" et non pas "qui me plaint"
Merci pour ce souffle poétique qui nous propulse au delà des étoiles et situe l'espoir dans l'infini caché par l'horizon . Aujourd'hui, seuls les scientifiques et particulièrement les astrophysiciens,( dont la joie devrait être communicative )ont encore la capacité de nous faire rêver,..... et aussi naturellement nos poètes favoris , dont nous guettons avidement les inspirations
RépondreSupprimerJ'approuve entièrement le commentaire de Claude. Et ça me rappelle le livre de Gustave THIBON qui s'appelle justement "L'ignorance étoilée".
RépondreSupprimerUn grand merci à vous qui me donnez l'envie d'aller courir les rimes !
RépondreSupprimerExercice si dérisoire comme le disait Malherbe...
merci
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