|
Ce chant si beau demain peut-être Aura vaincu les pesanteurs Dont il émane avec des pleurs Sans oser vraiment tout promettre Il traverse tendrement l'être Comme le silence des fleurs Leurs parfums ou bien les douceurs Du jour au moment d'apparaître Il dit plus que les infinis Qui sont au dessus de nos têtes Et dans ses accents inouïs Résonnent d'indicibles fêtes Au cœur d'un grand jardin radieux Peuplé d'archanges et de dieux... **************************** |
merci de si bien mettre en vers aimables et précieux le bonheur inexprimable que nous ouvre ces harmonies limpides, ailées dépouillées mais pleines de souffle , d'élan, de flamme et de sérénité joyeuse
RépondreSupprimerMerci Pierre Henri , et merci Jean Sébastien
correction tardive d'une faute impardonnable : que nous ouvrent naturellement
RépondreSupprimerMerci Claude. Je vois que vous êtes fidèle au poste... J'ai apporté ce matin deux petites retouches en le relisant. Il faut dire que les mots étaient venus un peu rapidement, pour une fois.
RépondreSupprimer