Tout départ est un déchirement
Et dans celui sans voix d’une mère
C’est toute une immensité amère
Qui monte crûment
Aujourd’hui tout est vain, tout s’efface,
La lumière au bord des horizons
Les jours joyeux, les belles saisons
Et le temps qui passe
Une partie du monde s'éteint
Le cœur est mortellement atteint
Mais l'Espoir demeure
Car aux limites de l'infini
Ou aux confins de l'esprit, pour Lui
Ce n'est jamais l'heure
Nunc stat filius.
RépondreSupprimerCondoléances
Le jour terrible où on cesse définitivement d'etre un enfant
RépondreSupprimerAmicales pensees