Cet oxymore cocasse qui donne le titre de ce billet fut délivré avec pompe et circonstance par le pape François lors de son show marseillais. Il révèle qu’il y a vraiment quelque chose qui ne tourne pas rond chez lui. On le savait un peu décalé dans le rouge de la mal nommée théologie de la libération, qui cherchait en réalité à inféoder le message christique au marxisme le plus éculé. Mais c'était avant que le Saint-Esprit l'éclaire de sa lumière.
Hélas, force est de constater que ce dernier a manqué sa cible. François est resté dogmatique, sentencieux, et plus imprécateur que jamais. Devenu pontife il pontifie à tout va, avec un ton revanchard et un goût pour la provocation vaine qui témoignent d'une inquiétante inaptitude à l’élévation spirituelle.
Sa venue très théâtralisée dans la patrie de Marius pour exprimer avec des larmes de crocodile sa compassion pour les migrants est une belle pierre jetée dans le jardin honni du Capitalisme et plus généralement de l’Occident. Sans doute cela satisfera l'âme révolutionnaire du curé coco devenu leader de la chrétienté, mais quant à l'efficacité, ce n'est rien de mieux qu'un coup d'épée dans l'eau ou un hourra pour les pauvres, aussi audacieux et courageux qu'une résolution de l'ONU, contre la guerre ou pour l'amélioration du climat…
Dans quel monde vit le pape ?
A-t-il conscience du dépérissement tragique du christianisme qu'il est supposé incarner et en tout état de cause défendre avant toute chose ?
Pas un jour sans que des chrétiens ne soient insultés, ridiculisés, humiliés, violentés, assassinés par le fanatisme et l'intolérance.
Pas un jour sans que des églises ne soient pillées, vandalisées ou brûlées par des idiots animés de la plus noire des bêtises.
S'agissant du sort tragique des migrants qui semble tant remuer l’héritier au petit pied de Saint-Pierre, pas un jour sans que des passeurs cupides sans foi ni loi n'organisent l'exode périlleux de ces malheureux auxquels ils ont fait croire que l'Europe était une nouvelle Cythère.
Pas un jour sans que des ONG, irresponsables, financées par des États inconséquents, n'encouragent les candidats à l'émigration.
Pas un jour sans que les tyranneaux et les incapables qui prétendent gouverner les pays d'origine des exilés, n'accentuent en toute impunité leur emprise et leurs maléfiques agissements.
Et pas un jour sans qu'on constate avec effarement l'incapacité de nos pays, totalement débordés par l'ampleur du phénomène, à accueillir si ce n'est endiguer le déferlement de populations hagardes fuyant ces misères évitables mais que personne ne cherche vraiment à éviter.
Le pape, qui semble ignorer les liens de causalité, n’eut pas un mot pour ces fléaux terribles, pas un mot pour déplorer le chaos migratoire qui s’apparente de plus en plus à un désastre humanitaire. Au lieu de cela, il se livra à une litanie marmonnée avec onction et componction, cachant derrière de vagues propos lénifiants, un lit de pointes venimeuses et d'accusations fielleuses, destinées non pas aux fauteurs de ces troubles, mais à ceux qui y sont confrontés ! Pire, ses condamnations à sens unique et ses leçons de morale pharisiennes risquent d’alimenter et d’attiser, consciemment ou non, l'incendie.
A défaut de convaincre ses paroissiens et de déclencher des vocations pour sa religion en voie d'extinction, il devient l'idole de ses adversaires et de tous ceux qui n'ont rien à faire de la sainteté dont il est le dépositaire désigné.
Profitant de l'aubaine, l'infâme Mélenchon ramène avec une torve jubilation sa fraise, couleur du sang des révolutions d'antan. Lui qui ne vit que dans l'espoir de voir revenir le temps des coupeurs de têtes et de la lutte fratricide des classes, à laquelle il ajoute celle des races et des sexes, il s'accroche indécemment aux basques du pontife cacochyme et décarochant, espérant par ses simagrées, tel le joueur de flûte de Hameln, faire venir à lui, comme futurs électeurs, les foules étiques et désemparées que le pape bénit de ses vœux insanes.
Hélas, force est de constater que ce dernier a manqué sa cible. François est resté dogmatique, sentencieux, et plus imprécateur que jamais. Devenu pontife il pontifie à tout va, avec un ton revanchard et un goût pour la provocation vaine qui témoignent d'une inquiétante inaptitude à l’élévation spirituelle.
Sa venue très théâtralisée dans la patrie de Marius pour exprimer avec des larmes de crocodile sa compassion pour les migrants est une belle pierre jetée dans le jardin honni du Capitalisme et plus généralement de l’Occident. Sans doute cela satisfera l'âme révolutionnaire du curé coco devenu leader de la chrétienté, mais quant à l'efficacité, ce n'est rien de mieux qu'un coup d'épée dans l'eau ou un hourra pour les pauvres, aussi audacieux et courageux qu'une résolution de l'ONU, contre la guerre ou pour l'amélioration du climat…
Dans quel monde vit le pape ?
A-t-il conscience du dépérissement tragique du christianisme qu'il est supposé incarner et en tout état de cause défendre avant toute chose ?
Pas un jour sans que des chrétiens ne soient insultés, ridiculisés, humiliés, violentés, assassinés par le fanatisme et l'intolérance.
Pas un jour sans que des églises ne soient pillées, vandalisées ou brûlées par des idiots animés de la plus noire des bêtises.
S'agissant du sort tragique des migrants qui semble tant remuer l’héritier au petit pied de Saint-Pierre, pas un jour sans que des passeurs cupides sans foi ni loi n'organisent l'exode périlleux de ces malheureux auxquels ils ont fait croire que l'Europe était une nouvelle Cythère.
Pas un jour sans que des ONG, irresponsables, financées par des États inconséquents, n'encouragent les candidats à l'émigration.
Pas un jour sans que les tyranneaux et les incapables qui prétendent gouverner les pays d'origine des exilés, n'accentuent en toute impunité leur emprise et leurs maléfiques agissements.
Et pas un jour sans qu'on constate avec effarement l'incapacité de nos pays, totalement débordés par l'ampleur du phénomène, à accueillir si ce n'est endiguer le déferlement de populations hagardes fuyant ces misères évitables mais que personne ne cherche vraiment à éviter.
Le pape, qui semble ignorer les liens de causalité, n’eut pas un mot pour ces fléaux terribles, pas un mot pour déplorer le chaos migratoire qui s’apparente de plus en plus à un désastre humanitaire. Au lieu de cela, il se livra à une litanie marmonnée avec onction et componction, cachant derrière de vagues propos lénifiants, un lit de pointes venimeuses et d'accusations fielleuses, destinées non pas aux fauteurs de ces troubles, mais à ceux qui y sont confrontés ! Pire, ses condamnations à sens unique et ses leçons de morale pharisiennes risquent d’alimenter et d’attiser, consciemment ou non, l'incendie.
A défaut de convaincre ses paroissiens et de déclencher des vocations pour sa religion en voie d'extinction, il devient l'idole de ses adversaires et de tous ceux qui n'ont rien à faire de la sainteté dont il est le dépositaire désigné.
Profitant de l'aubaine, l'infâme Mélenchon ramène avec une torve jubilation sa fraise, couleur du sang des révolutions d'antan. Lui qui ne vit que dans l'espoir de voir revenir le temps des coupeurs de têtes et de la lutte fratricide des classes, à laquelle il ajoute celle des races et des sexes, il s'accroche indécemment aux basques du pontife cacochyme et décarochant, espérant par ses simagrées, tel le joueur de flûte de Hameln, faire venir à lui, comme futurs électeurs, les foules étiques et désemparées que le pape bénit de ses vœux insanes.
Ah ah ah ! On peut dire qu'avec vos adversaires (je dirais même, à ce niveau, "ennemis"), vous n'y allez pas de mains mortes ! ("infâme", "insane"...)
RépondreSupprimerGlobalement d'accord, même si je ne vois pas très bien le lien avec le marxisme... Et aidés par des ONG irresponsables et des passeurs sans foi ni loi mais aussi par Georges Soros de "l'Open Society"...
Qui a dit : "La lutte des classes existe et c'est ma classe qui la mène et qui est en train de la gagner" ? Certainement pas le trublion de LFI (même s'il le pense) mais plus sûrement le milliardaire Warren Buffet...
Enfin, n'oubliez pas, Pierre-Henri : ils vont "payer nos retraites", "revitaliser nos campagnes" et on a "besoin de bras dans les métiers en tension"... Amen.
Sinon, j'ai appris (l'espace d'un instant) "décarocher" et "étique".
Bonsoir
François
Je suis sans doute sévère, voire excessif dans mon propos. Mais je trouve que l'instrumentalisation des migrants est monstrueuse. Elle fait écho à toutes les lubies avec lesquelles on nous assomme : altermondialisme, écologie, wokisme, racisme, antispécisme et de manière plus générale égalitarisme. Elle est plus grave car il s'agit d'êtres humains.
RépondreSupprimerLe lien avec le marxisme est évident. Derrière toute cette agitation, c'est toujours l'anti-capitalisme qui s'exprime. Et celui-ci plonge ses racines dans le vieux fonds marxiste révolutionnaire.
Je n'ai rien contre l'immigration a priori. Mais le spectacle auquel on assiste est affligeant. Je pense que vous plaisantez en évoquant les "emplois en tension". L'argument entendu parfois dans les plus hautes sphères de l'Etat relève a la fois de la mystification, de la lâcheté et de l'hypocrisie. Il y a plus de 2 millions de chômeurs en France. Et dans le même temps le nombre d'emplois ne trouvant pas preneur explose (plus d'un million paraît-il). C'est avoir une bien piètre idée des migrants si l'on pense qu'ils peuvent exercer les métiers dont les Français ne veulent pas. Il y a vraiment quelque chose qui ne fonctionne pas dans ce pays...
C'est bien ce qui "cloche" dans vos diatribes enflammées bien qu'à la prose habile et stylée : derrière chaque mal et problème de notre monde, vous voyez l'ombre maléfique de l'Etat ou de la Gauche, là où cette dernière n'est finalement bien souvent que "l'idiote utile" du capitalisme mondialisé. Quant à faire du premier représentant de l'Eglise un néo-marxiste, voila qui est cocasse quand on sait que communisme et religion ne font généralement pas bon ménage. Quoique, mon grand-père maternel, pur stalinien, me disait quelquefois que "le premier communiste, c'est Jésus-Christ".
RépondreSupprimerJ'espacerai mes réactions à l'avenir, on va finir par croire que je suis votre seul lecteur, ce que je ne crois pas et ne vous souhaite d'ailleurs pas.
Bien à vous
François
Je ne sais pas si ça "cloche" chez moi. Le monde est plutôt binaire en somme. Il y a deux modèles qui s'affrontent : d'un côté le libéralisme , de l'autre le socialisme. Hormis quelques régimes isolés dans un système féodal d'un autre âge, tout nous ramène à cette dualité. Tantôt le libéralisme met un peu de socialisme dans son eau, tantôt c'est l'inverse.
RépondreSupprimerDans ce qu'on lit, dans ce qu'on voit, et dans ce qu'on entend, il y a un consensus énorme pour voir l'ombre du capitalisme dans tout ce qui est mal et même souvent pour l'assimiler carrément au Mal. J'ai pris l'option inverse. Pas par goût d'être minoritaire , ni envie d'être original, mais évidemment parce que c'est plus juste de mon point de vue.
Je suis très peu sensible à l'argument selon lequel parce que tout le monde pense une chose, il faudrait nécessairement la penser aussi (ex.le réchauffement climatique et ses causes supposées).
Fidèle aux conseils du vénérable Kant, j'essaie me faire mon opinion par moi-même. Nous avons la chance de pouvoir puiser la connaissance des faits à de multiples sources d'information. Il faut en profiter (pourvu que ça dure). J'ai beaucoup d'amis de gauche, très honorables et très intelligents, qui me disent qu'ils sont de gauche par principe et/ou par tradition familiale et que rien ne pourrait les faire dévier. Cela m'interpelle au niveau du vécu comme on dit...
Merci en tout cas de vos contributions très stimulantes auxquelles je prends plaisir à répondre. Je sais que j'ai des lecteurs fidèles. Combien sont-ils je l'ignore , car ils commentent effectivement rarement et les statistiques de Google me semblent aléatoires. Peu importe, même s'il n'y avait personne je crois que je continuerai à écrire ne serait-ce que pour donner un sens à mon existence (j'écris, donc je suis...). Et s'il n'y en avait qu'un , je mettrais autant d'application à rédiger mes billets que s'ils étaient des milliers ! Bien à vous.
Beau pamphlet et sa rédaction doit faire du bien .
RépondreSupprimerCeci dit le pape pouvait-il avoir un autre discours et se rappeler les actions de l'évangile ?
Ne faut-il pas considérer l'autre comme un frère et se poser toujours la question, que ferait-on à leur place ? . Quelle chance d'étre né à plusieurs milliers des terres d'Afrique !
Naturellement nous sommes en train de constater un bouleversement radical des équilibres sociaux et culturels dans nos vieux pays africains . Et il n'y a pas besoin d'aller très loin pour rencontrer ces très jeunes migrants errant dans nos centre villes . Cette révolution va être mortelle pour nos civilisations ... C'est ainsi et nous sommes largement entrés dans un cycle de décadence ( la Chine a été le pays du monde le plus puissant avant la révolution industrielle européenne avec ensuite une rapide décrépitude puis sa renaissance ) .
On aurait aimé
- entendre le pape 1/ sur la démographie africaine avec un changement de discours sur la contraception par ex 2/ sur les états largement faillis et leurs dirigeants corrompus
- le voir mettre à exécution ses propos moralistes et pourquoi pas emmener dans son bel avion blanc quelques réfugiés . Le Vatican est riche et a de la place ( 44 ha ) et les gardes suisses désoeuvrés .
Allez cher François restons cohérent .
Bonsoir,
RépondreSupprimerChez moi aussi, la "tradition familiale" est de rigueur... Par exemple, ayant perdu il y a 15 mois jour pour jour mon père, extrêmement politisé à (l'extrême) gauche, je me suis mis bille en tête de voter LFI (ou le candidat de gauche le mieux placé) aux futures élections. Il m'en coûte un peu mais je lui dois bien ça. Etant depuis de nombreuses années abstentionniste (je ne crois pas que la solution sortira des urnes et le jeu électoral me semble verrouillé en France), on peut donc considérer que la gauche ne perdra ainsi aucune voix avec sa disparition.
Avec le temps, je n'ai jamais compris qu'on puisse forcément adhérer à toutes les positions d'un camp déterminé (la gauche et la droite). Sur certains points, je suis de gauche (économie essentiellement même si dans ce domaine, je suis plutôt "ailleurs" - décroissant - ; je ne suis pas fan non plus des Etats trop policiers), sur d'autres, je suis de droite (contre le "wokisme" et la société "multiculturelle" par exemple). Vous me direz, il faut bien choisir. Et bien non car tout me semble équitablement important. Surtout, je trouve que droite et gauche (en France) sont traversées d'une terrible contradiction interne vis-à-vis du libéralisme : les uns sont libéraux en économie mais pas sur les questions de société et pour les autres, c'est l'inverse. C'est pour ça que les électeurs des deux camps sont toujours déçus une fois leurs candidats arrivés au pouvoir. Macron a déjoué ce piège : il est libéral sur les deux tableaux (même si je sais que pour vous, cela ne va jamais assez loin, jamais assez vite). Je me considère pour ma part comme un décroissant souverainiste, conservateur et un peu identitaire ("je sais même pas si ça existe" comme le chantait Renaud), assez proche du gaullisme.
Beaucoup de sources d'information, certes mais combien de véritablement fiables, neutres et qui ne font pas doublon ?
Bien à vous
François
Re,
RépondreSupprimerP.S : par contre, j'ai vraiment du mal à trouver le "consensus anticapitaliste" dont vous parlez... Certes, la gauche est médiatiquement et culturellement très présente (euphémisme) mais son emprise et ses offensives portent bien davantage me semble-t-il sur les questions sociétales (le fameux "wokisme") que sur la question sociale... Et si c'était le cas, on ne peut pas dire que ce soit très efficace : la pub est partout, des activités auparavant de l'ordre du don se monétisent, l'ubérisation et l'auto-entrepreneuriat (la forme capitaliste canonique, le retour du travail à la tâche) se développent...
Par ailleurs, Le Figaro, les Echos, Capital, Le Point et d'autres revues ne manquent pas de prêcher la "bonne" parole libérale.
Enfin, l'opposition Occident / BRICS se joue sur les questions sociétales et politiques (démocraties libérales Versus états autoritaires et conservateurs) et non, comme lors de la "Guerre froide", sur l'opposition capitalisme / communisme. Le premier nommé a définitivement gagné (sauf en Corée du Nord peut-être). Certes, les Etats européens ont des Etats-Providence plus ou moins développés mais on reste dans un système capitaliste.
François
Je reste persuadé, Antoine que le pape, avec son zèle partisan et sa courte vue gauchisante, est un des moins inspirés connus, pour ne pas dire autre chose...
RépondreSupprimerQuant au libéralisme/capitalisme, Francois, faites vous-même un petit sondage. 9 personnes sur 10 au bas mot sont persuadées qu'il s'agit d'une calamité. Après des décennies d'endoctrinement, depuis l'ecole jusqu'au traitement de l'information par la quasi totalité des médias, et en passant par le pape, le résultat est là...
C'est un sport national que de cracher dans la soupe, tout en profitant de ses bienfaits, de manière éhontée...
J'ajoute que si nous vivons bien en France en régime capitaliste plus ou moins libéral, celui-ci est plombé par 2 boulets : d'un côté une bureaucratie asphyxiante, de l'autre le poids des soi-disant acquis sociaux. ça n'aide guère à progresser...
RépondreSupprimerPierre-Henri, je ne sais pas si vous faites vos sondages à la sortie de la "Fête de l'Huma" mais je puis vous assurer que même s'ils peuvent en critiquer certains aspects (et j'espère et pense que vous êtes ouvert à entendre ces critiques), la plupart des gens (toutes couches sociales confondues) sont favorables au capitalisme (libéral ou "social-démocrate"), ne serait-ce que parce qu'ils ne voient pas d'autres alternatives et celle qui s'est présentée comme telle a échoué. Et ils adorent consommer. Et s'enrichir.
RépondreSupprimerJ'ai été écolier dans les années 80 et je n'ai pas souvenir d'avoir reçu des cours hostiles au capitalisme. L'école où l'entreprise est de plus en plus présente, d'ailleurs, l'Education Nationale n'étant plus un lieu de transmission de savoirs et pour forger l'esprit critique mais une simple préparation au "marché de l'emploi". Ma prof d'économie dans un institut privé de gestion (formation en comptabilité, milieu des années 90) était par contre très libérale.
Pour le reste, on ne va pas "refaire le match" puisque le désaccord est si profond que nos positions ne pourront se rejoindre ni même s'approcher.
Bien à vous
François
Pierre Henri erreur majeure ( la culpabilité de l'homme blanc ? ) dans mon très court texte et il s'agissait des "vieux pays européens et non africains" .
RépondreSupprimerSinon mettre la pression uniquement sur les pays occidentaux est naturellement une erreur mais la charité chrétienne ( je n'en suis pas ) doit etre pleine et entière .
Mais non Antoine, il ne s'agit pas d'une "erreur majeure". Juste un lapsus. J'avais corrigé de moi-même...
SupprimerCela dit, avec le pape actuel, je reste convaincu que c'est l'église qui se moque de la charité...