Dans la saison qui s’avance vers une fin d’année déprimante, plutôt que de s’abandonner aux "sanglots longs des violons de l’automne", pourquoi ne pas recourir une fois encore au blues qui agit paradoxalement comme un puissant revigorant, comme une vraie source de sérénité ?
Le blues ne s’exprime jamais mieux et plus directement qu’en musique. Et la plus apaisante est peut-être celle qui swingue, car elle diffuse une douce chaleur, et génère dans la foulée un bien-être qui fait instantanément se sentir mieux. Qui d'autre que Count Basie pourrait incarner le mieux cette pulsation indicible ? Personne, sauf évidemment son frère d’armes, au moins son égal, j’ai nommé Oscar Peterson.
Ces deux diaboliques compères n’ont pas leur pareil pour faire chanter le spleen et tenir l’âme en lévitation. Ils se sont tellement souvent livrés à ce jeu subtil ensemble ! La magie de Youtube permet de les retrouver dans quelques sessions extatiques, dont celle-ci, datant de 1974, à l'occasion du festival de jazz de Prague. Ou bien une autre, émaillée de dialogues savoureux, enregistrée en 1980, avec le fin et élégant guitariste Jim Hall, et une section rythmique douce comme le plus chatoyant des velours damassés, associant l’excellent Niels Henning Orsted-Pedersen à la basse et le pétillant Martin Drew à la batterie… On retient notamment un Blue And Sentimental qui vaut toutes les romances, toutes les plus tendres divagations…
On retrouve Oscar Peterson en 1987 capturé au Japon, en compagnie des mêmes musiciens sans Basie hélas, et avec David Young à la basse.
Enfin, sans image, mais saisies magnifiquement dans l’intimité d’un studio feutré, deux sessions extatiques ont été gravées pour le compte de la maison Pablo :
Satch & Josh 1975 avec Louie Bellson (batterie), Freddie Green (guitare), Ray Brown (basse) et Satch & Josh again en 1977 où John Heard remplace Ray Brown.
Mon Dieu, faites que nos imbéciles de politiciens, parmi la multitude de mesures ineptes qu’ils nous imposent, ne parviennent pas durablement à nous couper la lumière pour nous empêcher de voir la beauté d’une ville la nuit, si propice au Blues…
Il n’y a sans doute ni guerre propre, ni guerre sainte, mais il y a, c’est certain, de sales guerres. Celle qui se déroule en Ukraine depuis plusieurs mois figure assurément au rang de ces dernières.
Bien clairvoyant celui qui parvient à distinguer le vrai du faux dans ce conflit épouvantable où les fausses informations pullulent et qui voit s’affronter sur un terrain indécis une population déchirée entre deux nations, que le passé a unies, tantôt par la raison tantôt par la force. Le peuple français a connu dans son histoire récente, lors de ses confrontations avec son voisin germanique, le tragique enchaînement d'événements faisant se succéder guerres, annexions, occupation, collaboration, résistance et libération émaillée d’atroces règlements de comptes. Il devrait être à même d’imaginer l’horreur qui doit régner dans le Donbass. Au gré des luttes d’influence, les populations locales se retrouvent du bon ou du mauvais côté, traîtres ou patriotes, vainqueurs ou vaincus, libérés ou vassalisés…
Au surplus, ce champ de bataille est devenu le point focal où s’affrontent des intérêts supérieurs, opérant une sorte de clivage international monstrueux. D’un côté le monde dit occidental derrière le géant américain flanqué du nain européen, de l’autre un conglomérat de nations, rassemblées dans la haine et le mépris des premiers. Soucieux de ne surtout pas intervenir directement, ces acteurs se cantonnent assez hypocritement à des vœux pieux, à des sanctions et à des livraisons massives d’armes.
Loin d'éteindre l’incendie, ce soutien ne fait que l’attiser et entretient l’illusion que l’ogre russe puisse, à la fin des fins, être vaincu par l’Ukraine. D’où la tentation pour cette dernière de tout tenter pour accroître les aides extérieures voire même de provoquer l’incident qui obligerait les alliés à rentrer pour de bon dans le conflit. Avec en filigrane, la menace obsédante du recours possible aux armes chimiques, biologiques ou nucléaires…
On avait des doutes sur l’origine de certains bombardements dont Kiev avait rejeté la responsabilité sur Moscou. On avait eu vent de comportements, pour le moins discutables, de l’armée ukrainienne consistant à cacher des soldats et des munitions à proximité immédiate d’habitations ou même dans des hôpitaux ou des écoles. On sait maintenant qu’un missile ayant touché le territoire polonais était d’origine ukrainienne. On sait qu’à cette occasion le président Zelensky avait immédiatement accusé les Russes et donc sans doute menti puisqu’il maintint ses affirmations face aux constats prouvant le contraire de ce qu’il affirmait. Ces derniers jours il faisait de même pour expliquer les bombardements survenus dans les alentours de la centrale nucléaire de Zaporijia. Sans éprouver la moindre sympathie pour les dirigeants moscovites, on peut douter de cette version. Quel intérêt auraient les Russes à viser cet endroit stratégique dont ils sont maîtres à ce jour ?
Manifestement ce conflit qui s'éternise use les nerfs de beaucoup de monde et ces jeux troubles ressemblant à une fuite en avant destinée à impliquer toujours plus l'OTAN commencent à lasser outre-atlantique. Les prétendus succès ukrainiens obtenus sur le terrain paraissent assez vains, et le rouleau compresseur aux ordres de Poutine, que certains veulent croire en déroute, peut encore faire beaucoup de mal. Pendant ce temps, le peuple d’Ukraine souffre de privations croissantes, du froid et de la hantise terrible des bombardements.
Quand cela finira-t-il donc ? L'administration américaine pousse désormais les dirigeants ukrainiens à entamer des négociations et avoue à demi-mot qu'il faut se faire à l'idée d'une partition du pays. En coulisse, des pourparlers semblent avoir repris entre Russes et Américains. Un cessez-le-feu pourra-t-il enfin intervenir, dans l’attente de négociations et d’un avenir certes peu satisfaisant, mais moins sombre que les perspectives dans lesquelles risquent de s’enliser les belligérants et, à leur suite, le monde ?
Toute âme bien née ne peut qu’être attachée à la protection de la nature dans ce qu’elle offre de plus admirable, et forcément se désespère lorsqu’elle est salie par les pollutions, ou bien vandalisée par des brutes sans foi ni loi. Tout amoureux de la liberté et de la beauté se réjouit nécessairement de la mise en valeur des trésors qui peuplent notre planète si bleue et s’honore de combattre le gaspillage et l’abjection.
De là à se proclamer écologiste, il y a plus qu’un fossé à franchir.
Ce néologisme forgé à la fin du XIXè siècle par un biologiste d’obédience darwinienne ne signifie en réalité pas grand chose de précis. Selon le Larousse, c’est tout simplement “l’étude des milieux où vivent les êtres vivants, ainsi que des rapports de ces êtres avec le milieu”. Rien de choquant ni de partisan dans cette définition, sauf que, toujours selon la même référence, l’usage courant a fait du concept "une doctrine visant à un meilleur équilibre entre l'homme et son environnement naturel ainsi qu'à la protection de ce dernier."
On verse de facto dans une acception spéculative, voire mystique, mais cela pourrait encore apparaître bien innocent quant à l’objectif, a priori fort louable.
On peut s’interroger toutefois lorsque ce dernier se transforme en prétention de changer le climat par des réglementations plutôt que d’affronter avec pragmatisme les caprices de la nature, paraît-il influencés par ceux des êtres humains. Tout étant dans tout et réciproquement, l’Homme ne fait-il pas partie prenante de cette nature ?
Les choses se compliquent vraiment quand l’idée se mue en doxa, et qu’elle affiche sa volonté de régenter les peuples en vertu de principes théoriques et d’une idéologie de plus en plus radicale. Le passé nous a appris à nous méfier des totalitarismes agissant au nom du Bien.
Hélas, chaque jour démontre l’emprise croissante sur les esprits de ce courant de pensée charriant les slogans et les idées reçues, présentées comme des vérités révélées. L'écologie a envahi le champ politique devenant même un parti. Le résultat est des plus discutables. On a vu l’inanité de nombre de lois promulguées à ce titre. Lorsqu’elles aboutissent à fermer des centrales nucléaires et à rouvrir celles fonctionnant au gaz ou au charbon, on mesure l’ampleur du désastre !
Au surplus, derrière la vitrine légale de l’écologie, s’agitent quantité de groupuscules, de lobbies et de collectifs, plus ou moins enragés, plus ou moins subventionnés par l’Etat Providence, dont les méfaits deviennent inquiétants.
Bien que le terme d’éco-terrorisme employé par le ministre de l’intérieur pour qualifier ces agissements soit excessif, et surtout disproportionné par rapport aux mesures employées pour les combattre, le caractère irrationnel et violent de l’écologisme apparaît de plus en plus clairement.
A la manière des socialistes dont ils ont hérité l’arrogance et le sectarisme, les gens qui se disent défenseurs de l’environnement s’arrogent le droit de faire ce que bon leur semble et de recourir à des actions de désobéissance civile alliant l’arbitraire à la stupidité.
On avait vu, au mépris de l'état de droit et de toute objectivité scientifique, le saccage de champs agricoles plantés d’OGM. On a relaté les actes de vandalisme à l’égard de restaurants consacrés au fast-food, ou d’entreprises jugées irrespectueuses de l’environnement par des censeurs imbus de leurs croyances.
Désormais, les commandos de cette nouvelle chasse aux sorcières, multiplient en quasi impunité les agressions en tous genres. Ils dégonflent les pneus des véhicules dits SUV, éteignent les enseignes lumineuses égayant la nuit les rues, endommagent les terrains de golf, détruisent les retenues d’eau destinées à irriguer les cultures, bloquent les aéroports au gré de leurs lubies, empêchent l’entretien et l'élagage des forêts. Pour peu qu'on cherche à savoir à qui profite le crime et eu égard à la détermination fanatique de ces gens à marquer les esprits, on peut se demander s’ils ne sont pas impliqués dans le déclenchement des incendies estivaux pour attirer l’attention du bon peuple sur le prétendu péril climatique.
Par un curieux retournement de situation, les insurgés deviennent donc des anti-écologistes et dans ce contexte, s'opposer à leur œuvre de destruction devient pure écologie !
La dernière mode consiste à souiller les œuvres d’art dans les musées et à se coller les mains à ces dernières. Monet, Van Gogh, Vermeer ont été les cibles de ces actes imbéciles. Mais, offenser de cette façon la Jeune Fille à la Perle n'est pas seulement cuistrerie. Cette ignominie ne fait pas que disqualifier la cause. C’est un pas de plus vers la barbarie ! Qui arrêtera ce vent de folie ? Sûrement pas le Chef de l’État hélas, qui dit réprouver ces exactions en même temps qu'il "défend une cause juste et bonne…"
Parti d’on ne sait où, rien n’indique clairement quelle direction il suit. Le Président de la République semble de plus en plus absent de ce monde qu’il survole à la manière de ces mythiques alcyons, porteurs d’heureux présages et annonciateurs d’horizons radieux pour les marins. Dans sa bouche, tout est simple et tous les problèmes sont réglés ou bien en passe de l’être.
S’exprimant toujours avec faconde et facilité, il fait fi des obstacles et de l’adversité avec une décontraction déconcertante. Son regard clair mais gris, étrangement fixe et vide semble accroché à une ligne de fuite imaginaire. Comme s’il en avait conscience, il use et abuse de mouvements de sourcils pour exprimer son assurance.
Pour tenter de désamorcer le mécontentement sourd du peuple à l’approche d’un hiver qu’on nous promet rigoureux, marqué par les pénuries en tous genres, il s’est livré à l’exercice de style qu’il semble affectionner par les temps qui courent : l’interview à bâtons rompus.
En l’occurrence il n’a pas cassé trois pattes à un canard comme l’on dit. Face à la discrète mais déterminée journaliste Caroline Roux, son discours est resté des plus théoriques, et sa rhétorique nébuleuse, pour tout dire déconnectée de la réalité.
Ce n’est pourtant pas faute d’avoir en main un certain nombre de clés et surtout les éléments d’un diagnostic pertinent.
Pour amener le sujet sensible de la nécessaire réforme des retraites, il s’est par exemple livré à une analyse pleine de bon sens sur le nombre - très bas - d’heures travaillées dans notre pays, sur les montants faramineux et en croissance permanente des dépenses publiques, sur la pression fiscale écrasante qui fait de la France la championne d’Europe.
Hélas, en même temps, il peine à proposer des solutions concrètes. Tout en répétant qu’il faudra selon lui travailler plus longtemps, il affirme qu’il n’est pas bloqué sur l’âge de départ à la retraite et qu’il reste ouvert à toutes les propositions, sachant qu’on ne peut ni augmenter le montant des cotisations, ni diminuer celui des pensions… Et foin évidemment d’autres perspectives, telle celle de la capitalisation, dont il n’ose même évoquer le mot tabou.
S’étant sans doute fait remonter les bretelles quelques heures auparavant par le chancelier allemand Scholz, il insiste sur la nécessaire maîtrise budgétaire. On sait déjà qu’il n’en a cure puisque l’État, à son initiative, multiplie les boucliers tarifaires, les aides, les subventions, et les primes à l'achat ruineuses pour le Trésor Public.
De diminution des impôts il n’en est guère question sauf en trompe-l'œil, comme la suppression de la redevance télévisée et de la taxe d’habitation.
Il se targue d’avoir réussi à endiguer le chômage, mais la journaliste lui rappelle malicieusement qu’il reste plus élevé dans notre pays qu’en moyenne en Europe et qu’il est plus du double de celui de l’Allemagne…
A la déliquescence sociale qui ronge le pays, il n’oppose que des vœux pieux et des résolutions utopiques. Avec un aplomb de bonimenteur, il occulte ainsi, malgré les courbes implacables, la folle progression de la délinquance et se félicite même des résultats pitoyables de son gouvernement en matière de maitrise de l’immigration. S’agissant de l’incapacité notoire des pouvoirs publics à faire exécuter les fameuses Obligations de Quitter le Territoire Français (OQTF), il botte en touche, prétextant que c’était pire avant et que ce sera mieux demain !
On reste enfin anéanti, après le fiasco de 5 plans successifs, par l’absence totale de propositions pour remédier au désastre dans lequel patauge de plus en plus le système de santé, notamment les hôpitaux. Le seul expédient serait, à entendre le chef de l’État, d’appâter par des gains substantiels les vieux médecins pour les dissuader de partir en retraite !
Le clou de ce numéro de prestidigitateur très artificieux, fut la colère surjouée à propos de l’alliance des extrêmes, NUPES-RN, pour voter les motions de censure dirigées contre le gouvernement. Lui qui ne fut aucunement gêné de récolter les voix de l’Ultra-Gauche lors de l’élection présidentielle, continue donc de miser sur le procédé éculé consistant à diaboliser le Rassemblement National, tout en racolant la Droite républicaine.
Cela sera-t-il suffisant pour tenir jusqu’en 2027, on peut en douter. Cela ne sera guère propice en tout cas à la mise en œuvre d’une politique déterminée et pragmatique face aux périls qui s’accumulent sur nos têtes. Vu le chaos régnant au Parlement, le pays apparaît de plus en plus ingouvernable. Le débat se meurt sous les coups répétés du marteau pilon du 49.3 et la concertation se perd en vaines polémiques. Le brouhaha factieux voire insurrectionnel émanant de certains bancs de l’opposition pousse à la dissolution. Le Président de la République aura-t-il l’audace si ce n’est le courage d’y recourir ? Et pour quel résultat ?
On a pu reprocher à certains politiciens de droite de se saisir de l'atroce histoire de la petite Lola en instrumentalisant ce crime odieux au profit de leurs thèses. On peut même qualifier de maladroits voire d'inconvenants les mots employés par Eric Zemmour en la circonstance, qui font craindre qu'il n'ait tiré aucune leçon de son cuisant échec lors des récentes élections. L’appellation de francocide n’est pas moins galvaudée que celle de féminicide ou d’écocide…
On a sans doute trop cité Camus lorsqu'il affirmait en substance que mal nommer les choses ajoutait au malheur du monde. On n'a pas assez rappelé en revanche les propos de Jaurès lorsqu’il déplorait que faute de pouvoir solutionner les problèmes, on se bornait trop souvent à changer leur nom.
On ne peut toutefois reprocher que soient faits et soulignés avec force des constats objectifs. Passé l'effroi, et quelque peu atténuée l'émotion qui suscite la compassion, il faut donc affronter l'horrible réalité avec lucidité et courage.
Surtout on ne peut laisser sans réagir les ligues de vertu conspuer ceux qui s'appuient sur ce drame pour critiquer l'impuissance étatique et réclamer des mesures concrètes. M. Dupont-Moretti s’est ainsi livré à un numéro ignoble d'imprécateur faussement indigné pour tenter d’occulter son incapacité flagrante à assumer la fonction qu’il occupe. Il fait partie de ces bien pensants niais ou bien veules, qui emboitent le pas des crypto-marxistes de tout poil, engagés sur le chemin trompeur et mortifère menant à d’insondables abîmes nihilistes. Leur rhétorique révolutionnaire use toujours des vieilles recettes. Quoique minoritaire, elle s’avère hélas contagieuse.
Les as de la récup ce sont bien ces gens. Les rois de l'amalgame c'est encore eux. Aujourd’hui même ils se saisissent d’un mot malheureux lancé par un député du Rassemblement National pour intenter un procès en sorcellerie, brandissant les accusations spécieuses de racisme et de xénophobie. Tout le monde s’y met pour participer à la curée du gibier débusqué, du péquin moyen jusqu’au président de la république.
Navrant paradoxe caractéristique de l’époque, dans le même temps qu’on condamne pour des mots, on permet en toute impunité à des élus de prêcher l’insurrection, la grève générale. Rien n’arrête ces enragés de la destruction. N’ayant cure du débat démocratique, ils s’associent à une poignée de manifestants pour barrer les rues jouxtant le Palais Bourbon au prétexte farfelu de la rénovation thermique de l’habitat ! Pire, ils vont, au mépris des arrêtés d’interdiction préfectoraux, main dans la main avec les “éco-terroristes” de Sainte-Soline casser du flic et brailler leur haine des méga-bassines !
Ceux qui passent leur temps à vomir leurs insultes sur les forces de l’ordre, sur les patrons, sur les labos pharmaceutiques, sur le capitalisme et la libre entreprise en fondant leurs slogans sinistres sur des mensonges éhontés. Ceux-là feraient mieux de balayer devant leurs portes. Ils ont tant fois ignoré voire méprisé les victimes et excusé les assassins qu'ils ont perdu toute crédibilité. Honte à ces pharisiens cyniques faiseurs de facto de désordre et de chaos, ces abuseurs de peuples, ces idiots utiles du crime et de la délinquance. Foulant de leurs pieds souillés la liberté qui leur permet d'exprimer leurs insanités, ils font le lit des dictateurs et le berceau de tous les totalitarismes...