Dans la débâcle politique et économique où s'enfonce la France, les jours se suivent et se ressemblent. Chaque soir on peut faire le bilan de nouvelles catastrophes et de ratages en tous genres, dont se rendent coupables les gens qui nous gouvernent, décidément incapables de tout, sauf du pire...
Les remous de l'affaire Cahuzac sont à peine atténués que les mauvaises nouvelles arrivent en rafales : La croissance s'affaisse de plus en plus, tandis que le taux de chômage crève le plafond. Plus de 3,2 millions de personnes, au bas mot, se trouvent désormais sans emploi. Et sans perspective autre que celle dérisoire de « emplois d'avenir » dont l'appellation ronflante dit trop l'inanité.
Malgré le tsunami fiscal, le déficit budgétaire de l'Etat ne cesse de progresser, atteignant désormais 4,8% du PIB. Et la dette ne cesse bien évidemment de croître.
Avec les fermetures définitives des hauts fourneaux de Florange, et des raffineries de Petroplus, c'est l'échec humiliant qui sanctionne la stratégie calamiteuse du Président du « changement ».
Croyez-vous pour autant que le chef de l'Etat et sa majorité en peau de chagrin en conçoivent quelque angoisse ou bien amorcent ne serait-ce qu'une ébauche de remise en cause ?
Pas du tout. Bien au contraire, François Hollande, tout frétillant après son incursion de 37 heures en Chine, s'auto-congratule à la manière de Tartarin : « Depuis un an, j'ai fait des choix majeurs pour la France. »
Peu lui chaut qu'il soit en chute libre dans les sondages d'opinions (moins d'un quart des Français lui font confiance). Peu lui importe d'être le capitaine d'un pédalo à la dérive du monde. Il est content de lui, « heu-reux », comme dirait Fernand Raynaud!
Et en dépit de leur nullité effarante, tous ces gens se gargarisent de plus belle des mots creux de leur dialectique sans âme ni conviction. A l'issue du piteux épisode du mariage pour tous, Madame Taubira se prétendit « submergée par l'émotion ». Avant ce vote « historique », Claude Bartolone se crut un instant devenu le sauveur de la République en faisant évacuer manu militari de l'Assemblée Nationale quelques chahuteurs, qu'il traita « d'ennemis de la démocratie ». Manuel Valls enfin, menton en avant, se vanta d'avoir maîtrisé les "groupuscules d'extrême droite", et de "pétainistes" qui entretenaient selon lui « un climat nauséabond » au sein des rangs, pourtant bon enfant, des immenses manifestations qui tentèrent de s'opposer à cette nouvelle ineptie légale.
Les remous de l'affaire Cahuzac sont à peine atténués que les mauvaises nouvelles arrivent en rafales : La croissance s'affaisse de plus en plus, tandis que le taux de chômage crève le plafond. Plus de 3,2 millions de personnes, au bas mot, se trouvent désormais sans emploi. Et sans perspective autre que celle dérisoire de « emplois d'avenir » dont l'appellation ronflante dit trop l'inanité.
Malgré le tsunami fiscal, le déficit budgétaire de l'Etat ne cesse de progresser, atteignant désormais 4,8% du PIB. Et la dette ne cesse bien évidemment de croître.
Avec les fermetures définitives des hauts fourneaux de Florange, et des raffineries de Petroplus, c'est l'échec humiliant qui sanctionne la stratégie calamiteuse du Président du « changement ».
Croyez-vous pour autant que le chef de l'Etat et sa majorité en peau de chagrin en conçoivent quelque angoisse ou bien amorcent ne serait-ce qu'une ébauche de remise en cause ?
Pas du tout. Bien au contraire, François Hollande, tout frétillant après son incursion de 37 heures en Chine, s'auto-congratule à la manière de Tartarin : « Depuis un an, j'ai fait des choix majeurs pour la France. »
Peu lui chaut qu'il soit en chute libre dans les sondages d'opinions (moins d'un quart des Français lui font confiance). Peu lui importe d'être le capitaine d'un pédalo à la dérive du monde. Il est content de lui, « heu-reux », comme dirait Fernand Raynaud!
Et en dépit de leur nullité effarante, tous ces gens se gargarisent de plus belle des mots creux de leur dialectique sans âme ni conviction. A l'issue du piteux épisode du mariage pour tous, Madame Taubira se prétendit « submergée par l'émotion ». Avant ce vote « historique », Claude Bartolone se crut un instant devenu le sauveur de la République en faisant évacuer manu militari de l'Assemblée Nationale quelques chahuteurs, qu'il traita « d'ennemis de la démocratie ». Manuel Valls enfin, menton en avant, se vanta d'avoir maîtrisé les "groupuscules d'extrême droite", et de "pétainistes" qui entretenaient selon lui « un climat nauséabond » au sein des rangs, pourtant bon enfant, des immenses manifestations qui tentèrent de s'opposer à cette nouvelle ineptie légale.
Pendant ce temps, la vraie délinquance explose partout.
Parmi les faits divers sordides qui se multiplient, on est informé qu'à Sevran, les seringues fournies gracieusement par les pouvoirs publics aux toxicomanes, se retrouvent souillées, aux quatre coins de la ville et jusqu'aux portes des écoles.
Avec un bel esprit d'à propos l'ex ministre de l'intérieur Daniel Vaillant, sans doute sorti d'hibernation, en profite pour faire part de son idée lumineuse : « et si on ouvrait des salles de crack ? »
A Istres, c'est une tuerie abominable qui fait durant un jour ou deux, les gros titres.
Le ministre de l'intérieur, décidément très sollicité, s'empresse d'aller exercer sa mission compassionnelle auprès des familles éprouvées : "Dans ces moments dramatiques, il est important que l'Etat soit présent", et il fait au passage cette déduction d'anthologie, digne du Sapeur Camembert : "L'auteur a tiré parce qu'il possédait une arme de gros calibre, qui tue... » Pas de doute, avec une telle perspicacité, les assassins ont du souci à se faire !
Enfin la palme de l'insanité revient sans doute à ce fameux « mur des cons », découvert inopinément dans les locaux du Syndicat de la magistrature. Il s'agit à l'évidence, d'une ignominie qui révèle de manière éclatante l'état d'esprit et l'arrogance de ces jean-foutre qui n'ont à la bouche que les mots de générosité, de tolérance, d'égalité, de démocratie et qui s'ébrouent en fait avec délectation dans un marigot de mépris, de détestation et de bêtise à l'état pur : pour un peu, elle serait cristallisable...
Pris en flagrant délit, ces magistrats n'ont pas un mot de regret, pas même un doute. Forts de leur position inexpugnable, ils accusent la garde des Sceaux, qui s'était (un peu) émue de cette forfaiture, et dont il sont pourtant proches, d'avoir «cédé à la pression» et de remettre en cause leur droit «à l'expression privée d'une opinion»... Et ils osent affirmer qu'en affichant ces têtes, et ces sobriquets haineux, ils ne s'en prenaient qu'aux idées, et non aux personnes !
A France 3 par qui dit-on, le scandale est arrivé, on se croit obligé d'ouvrir une enquête interne. Déjà un journaliste est dans le collimateur. Il paraît qu'il serait de droite... Incroyable, il y en aurait donc quand même un là-bas !
Si c'est vrai, il faudrait le décorer pour cet acte de bravoure, et de salubrité publique !
Je pensais m'arrêter là. Mais l'actualité continue.
Cette fois, c'est le Parti Socialiste qui fait des siennes en publiant un texte incendiaire à propos de l'Allemagne, de sa chancelière, de sa politique. A elle seule, une phrase résume de manière éloquente la problématique soulevée par les apparatchiks en mal d'originalité: «Le projet communautaire est meurtri par une alliance de circonstance entre les accents thatchériens de l'actuel premier ministre britannique et l'intransigeance égoïste de la chancelière Merkel.» Plus c... tu meurs !
Non contents de patauger dans les filouteries, et de mettre à terre le pays, et ils font tout pour le rendre antipathique aux yeux du monde. Une question se pose plus que jamais : combien de temps encore l'Allemagne et ses vrais alliés se contiendront avant d'envoyer chanter ailleurs cette France des cigales...