A force d'y avoir consciencieusement semé les mensonges et les balivernes démagogiques, le champ de la réflexion contemporaine est désormais miné. A cause d’une foule de tabous à connotation pseudo-sociale, il est devenu quasi impossible de tenir un raisonnement qui ne soit tôt ou tard contaminé ou entravé par un des innombrables ponts-aux-ânes du prêt-à-penser.
Il est certes comique, même jubilatoire, de voir François Hollande et son gouvernement en faire les frais, alors qu’ils cherchent désespérément une voie pour sortir de l’impasse dans laquelle ils se sont fourvoyés.
A la manière de l’arroseur arrosé, ils prennent dans la figure tous les leurres avec lesquels ils ont mystifié le peuple depuis si longtemps !
Juste retour de bâton, mais catastrophe pour le pays décidément incapable de s’élever au dessus des chimères idéologiques. A ce stade, ce sont de vrais trous noirs ! Comme ces derniers, ils happent et détruisent tout ce qui s’en approche.
Les dirigeants de ce pays ne peuvent plus avoir ni trajectoire ni perspective claire dans ce gruyère.
Comment désormais progresser dans un tel néant truffé d'abîmes insondables en forme d’interdits ? Personne ne semble avoir la solution ce qui ne laisse pas d’inquiéter.
De fait, la société française est à bout de souffle. Elle a grignoté le gras accumulé à l’occasion des décades prodigieuses pendant lesquelles elle fut vivifiée par le grand vent de liberté et de prospérité venu d’Ouest. Mais il y a déjà longtemps qu’elle ne crée plus rien d’original et notamment plus de richesses nouvelles.
Elle n’est plus qu’un fantôme, une sorte de chrysalide vidée de sa substance.
A force d‘avoir prêché la lutte des classes, la justice sociale, l'égalité des conditions, et autres miroirs aux alouettes, les satrapes du socialisme ont perverti le peuple et massacré tous les grands idéaux.
Ainsi la liberté, la fraternité, l’équité, la solidarité, la justice ont été durablement dénaturés. Tout ce que ces valeurs représentent s’est dégradé dans un pays désormais rongé par les haines, les injustices, les égoïsmes, les rentes de situation, les a priori et la corruption. Aujourd’hui les gouvernants ne peuvent que constater le désastre qu’ils ont provoqué.
Pris dans la nasse de leurs propres manigances, ils n’ont d’autre choix que de se déjuger et d’affronter l’incompréhension, l’impopularité et la rébellion, ou bien de laisser filer le destin vers je ne sais quelles extrémités...
Il est certes comique, même jubilatoire, de voir François Hollande et son gouvernement en faire les frais, alors qu’ils cherchent désespérément une voie pour sortir de l’impasse dans laquelle ils se sont fourvoyés.
A la manière de l’arroseur arrosé, ils prennent dans la figure tous les leurres avec lesquels ils ont mystifié le peuple depuis si longtemps !
Juste retour de bâton, mais catastrophe pour le pays décidément incapable de s’élever au dessus des chimères idéologiques. A ce stade, ce sont de vrais trous noirs ! Comme ces derniers, ils happent et détruisent tout ce qui s’en approche.
Les dirigeants de ce pays ne peuvent plus avoir ni trajectoire ni perspective claire dans ce gruyère.
Comment désormais progresser dans un tel néant truffé d'abîmes insondables en forme d’interdits ? Personne ne semble avoir la solution ce qui ne laisse pas d’inquiéter.
De fait, la société française est à bout de souffle. Elle a grignoté le gras accumulé à l’occasion des décades prodigieuses pendant lesquelles elle fut vivifiée par le grand vent de liberté et de prospérité venu d’Ouest. Mais il y a déjà longtemps qu’elle ne crée plus rien d’original et notamment plus de richesses nouvelles.
Elle n’est plus qu’un fantôme, une sorte de chrysalide vidée de sa substance.
A force d‘avoir prêché la lutte des classes, la justice sociale, l'égalité des conditions, et autres miroirs aux alouettes, les satrapes du socialisme ont perverti le peuple et massacré tous les grands idéaux.
Ainsi la liberté, la fraternité, l’équité, la solidarité, la justice ont été durablement dénaturés. Tout ce que ces valeurs représentent s’est dégradé dans un pays désormais rongé par les haines, les injustices, les égoïsmes, les rentes de situation, les a priori et la corruption. Aujourd’hui les gouvernants ne peuvent que constater le désastre qu’ils ont provoqué.
Pris dans la nasse de leurs propres manigances, ils n’ont d’autre choix que de se déjuger et d’affronter l’incompréhension, l’impopularité et la rébellion, ou bien de laisser filer le destin vers je ne sais quelles extrémités...