C’est fait ! Un petit bout de femme, Giorgia Meloni, a raflé la mise politique en Italie ! Au terme d’une brillante ascension, et à force de détermination, de courage et d’habileté tacticienne, elle se hisse donc au pouvoir envers et contre tous les a priori.
Son programme est frappé au coin du bon sens et foin d’idéologie, s’attaque avant tout aux réalités quotidiennes auxquelles ses compatriotes sont confrontés.
Fasse le ciel qu’elle réussisse là où tant de ses prédécesseurs ont échoué. Son pays est en fâcheuse posture, comme beaucoup d'autres en Europe. La léthargie, la couardise, la démagogie, et l’impuissance des dirigeants passés et présents les ont conduits dans l’impasse.
Honte aux beaux esprits, cuits et recuits dans une haine primaire inepte, qui vomissent leurs quolibets et leurs insultes ignobles pour qualifier ce succès électoral. On a tout entendu pour discréditer par avance le futur gouvernement italien. Les épithètes de “post-fasciste” ou “d’extrême-droite”, ont résumé la teneur à sens unique, pour ne pas dire bornée des analyses et des commentaires. Pas une belle âme n’a même évoqué l’accession historique d’une femme au poste de premier ministre. Au plus haut niveau, les réactions ont été indignes. Quelques jours avant les élections, madame Von Der Leyen, la calamiteuse présidente de la grosse commission de Bruxelles, s’était permise de déclarer que "si les choses devaient aller dans une direction difficile" en Italie avec l'élection de Giorgia Meloni, elle avait "des instruments" de pression, comme cela a été le cas pour la Pologne et la Hongrie.
Rarissimes furent les félicitations saluant la victoire de la coalition menée par madame Meloni. M. Macron est pour sa part resté silencieux. En guise de gentillesse, la première ministre Élisabeth Borne, bien insignifiante au demeurant, a cru bon de préciser que “La France sera attentive au respect des droits humains et de l'avortement en Italie…”
C’est précisément cette condescendance pour ne pas dire ce mépris, qui fait le lit du sentiment anti-européen progressant un peu partout dans les esprits. Venant de gens incapables de gérer les affaires de leur propre pays, malléables à toutes les lubies du moment, et inertes devant la montée des vrais périls, c’est absolument intolérable ! Pour tout adepte de l’idée de nation européenne, il ne reste que les larmes devant un tel désastre…
Son programme est frappé au coin du bon sens et foin d’idéologie, s’attaque avant tout aux réalités quotidiennes auxquelles ses compatriotes sont confrontés.
Fasse le ciel qu’elle réussisse là où tant de ses prédécesseurs ont échoué. Son pays est en fâcheuse posture, comme beaucoup d'autres en Europe. La léthargie, la couardise, la démagogie, et l’impuissance des dirigeants passés et présents les ont conduits dans l’impasse.
Honte aux beaux esprits, cuits et recuits dans une haine primaire inepte, qui vomissent leurs quolibets et leurs insultes ignobles pour qualifier ce succès électoral. On a tout entendu pour discréditer par avance le futur gouvernement italien. Les épithètes de “post-fasciste” ou “d’extrême-droite”, ont résumé la teneur à sens unique, pour ne pas dire bornée des analyses et des commentaires. Pas une belle âme n’a même évoqué l’accession historique d’une femme au poste de premier ministre. Au plus haut niveau, les réactions ont été indignes. Quelques jours avant les élections, madame Von Der Leyen, la calamiteuse présidente de la grosse commission de Bruxelles, s’était permise de déclarer que "si les choses devaient aller dans une direction difficile" en Italie avec l'élection de Giorgia Meloni, elle avait "des instruments" de pression, comme cela a été le cas pour la Pologne et la Hongrie.
Rarissimes furent les félicitations saluant la victoire de la coalition menée par madame Meloni. M. Macron est pour sa part resté silencieux. En guise de gentillesse, la première ministre Élisabeth Borne, bien insignifiante au demeurant, a cru bon de préciser que “La France sera attentive au respect des droits humains et de l'avortement en Italie…”
C’est précisément cette condescendance pour ne pas dire ce mépris, qui fait le lit du sentiment anti-européen progressant un peu partout dans les esprits. Venant de gens incapables de gérer les affaires de leur propre pays, malléables à toutes les lubies du moment, et inertes devant la montée des vrais périls, c’est absolument intolérable ! Pour tout adepte de l’idée de nation européenne, il ne reste que les larmes devant un tel désastre…
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