Il faudrait parvenir à se détacher de ce genre d'actualité mais l'antienne lancinante revient sans cesse, où qu'on se tourne. Le réchauffement climatique est partout et l'on meurt paraît-il, par anticipation, de ses ravages supposés ! Selon les derniers échos de ce refrain entêtant, répercutés par l'ensemble de la Presse, Juillet 2023 fut le mois le plus chaud jamais enregistré sur Terre. L'été sera chaud dans les tee shirts dans les maillots n'est donc plus une chanson en forme de plaisanterie, c'est tout simplement le signe avant-coureur de la fin du monde !
Autre titre, même sujet, les incendies gigantesques qui ont embrasé le Canada ne sont pas encore totalement éteints, qu'ils auraient déjà produit 3,5 fois les émissions annuelles de CO2 de la France.
Voilà certes l'expression la plus directe et la plus évidente de la responsabilité humaine dans la dégradation de l'environnement. Par quels bougres de couillons ces feux dantesques ont-ils été allumés ? Quoique essentielle, la question ne semble préoccuper personne. Pourtant, à qui profite le crime, sinon aux écologistes les plus fanatiques qui trouvent avec ces calamités une magnifique occasion d'enfoncer un peu plus le clou de leurs théories ? Une telle supposition n'est pas plus absurde après tout que celle du pompier pyromane. D'aucuns diront que je suis mauvaise langue, voire dangereusement déviant. Tant pis. On ne me prendra pas ma liberté de penser comme dirait l'autre.
Heureux en tout cas de ne pas être journaliste à une telle époque. Répétées ad nauseam sans une once de recul, et sans nuance aucune, avec un grégarisme consternant, ces slogans abrutissants ne font pas honneur à la profession. Tout débat, toute réflexion en sont exclus. Inutile d'argumenter sur l'histoire du climat durant les quelque 5 milliards d'années écoulées avant l'apparition de l'Homme, ni même sur les millénaires qui ont précédé l'invention du thermomètre. La cause est entendue, la Terre est en ébullition (même l'ONU l’affirme) et c'est la faute à la civilisation industrielle. Conséquence logique quoique délirante, pour re-régler le climat, il faut arrêter de croître et de prospérer et puis c'est tout.
Parmi les inepties planant au-dessus de nos pauvres têtes, certaines sont moins extrêmes et seraient même presque amusantes. On nous rappelle par exemple qu'à compter du 1er août, l'impression des tickets de caisse en magasin sera proscrite. Ainsi en ont décidé les satrapes du bureau central de la protection de la planète. A la manière de l'Etat prodigue, envoyons au diable la trace de nos dépenses. Action parfaitement inutile, mais Ô combien symbolique…
Hier sur France 2 devenue la nouvelle Pravda en matière de climatologie, on eut droit à un mini reportage sur les répercussions climatiques des traînées de condensation laissées dans le ciel par les avions. Un savant du CNRS ou bien de je ne sais quel Haut Comité pour le Climat a expliqué doctement que ces nuages artificiels étaient néfastes car ils piégeaient les infra rouges émis par la Terre. Mais dans le même temps, il ajoutait qu'ils augmentaient la réflexion des rayons solaires donc l'albedo, bénéfique comme chacun sait. Ouf ! Un coup pour rien, mais qui n'exonère en rien le kérosène de ses effets désastreux… Merdre alors , comme dirait Père Ubu !
Autre titre, même sujet, les incendies gigantesques qui ont embrasé le Canada ne sont pas encore totalement éteints, qu'ils auraient déjà produit 3,5 fois les émissions annuelles de CO2 de la France.
Voilà certes l'expression la plus directe et la plus évidente de la responsabilité humaine dans la dégradation de l'environnement. Par quels bougres de couillons ces feux dantesques ont-ils été allumés ? Quoique essentielle, la question ne semble préoccuper personne. Pourtant, à qui profite le crime, sinon aux écologistes les plus fanatiques qui trouvent avec ces calamités une magnifique occasion d'enfoncer un peu plus le clou de leurs théories ? Une telle supposition n'est pas plus absurde après tout que celle du pompier pyromane. D'aucuns diront que je suis mauvaise langue, voire dangereusement déviant. Tant pis. On ne me prendra pas ma liberté de penser comme dirait l'autre.
Heureux en tout cas de ne pas être journaliste à une telle époque. Répétées ad nauseam sans une once de recul, et sans nuance aucune, avec un grégarisme consternant, ces slogans abrutissants ne font pas honneur à la profession. Tout débat, toute réflexion en sont exclus. Inutile d'argumenter sur l'histoire du climat durant les quelque 5 milliards d'années écoulées avant l'apparition de l'Homme, ni même sur les millénaires qui ont précédé l'invention du thermomètre. La cause est entendue, la Terre est en ébullition (même l'ONU l’affirme) et c'est la faute à la civilisation industrielle. Conséquence logique quoique délirante, pour re-régler le climat, il faut arrêter de croître et de prospérer et puis c'est tout.
Parmi les inepties planant au-dessus de nos pauvres têtes, certaines sont moins extrêmes et seraient même presque amusantes. On nous rappelle par exemple qu'à compter du 1er août, l'impression des tickets de caisse en magasin sera proscrite. Ainsi en ont décidé les satrapes du bureau central de la protection de la planète. A la manière de l'Etat prodigue, envoyons au diable la trace de nos dépenses. Action parfaitement inutile, mais Ô combien symbolique…
Hier sur France 2 devenue la nouvelle Pravda en matière de climatologie, on eut droit à un mini reportage sur les répercussions climatiques des traînées de condensation laissées dans le ciel par les avions. Un savant du CNRS ou bien de je ne sais quel Haut Comité pour le Climat a expliqué doctement que ces nuages artificiels étaient néfastes car ils piégeaient les infra rouges émis par la Terre. Mais dans le même temps, il ajoutait qu'ils augmentaient la réflexion des rayons solaires donc l'albedo, bénéfique comme chacun sait. Ouf ! Un coup pour rien, mais qui n'exonère en rien le kérosène de ses effets désastreux… Merdre alors , comme dirait Père Ubu !