Chaque incendie de forêt donne lieu à une nouvelle louchée d’informations à sens unique, accusant encore et toujours ce fameux dérèglement climatique, mis à toutes les sauces pour expliquer tout et n’importe quoi, sans une once d’esprit critique ni même le moindre recul que la prudence élémentaire exigerait pourtant. On glose ad nauseam sur les feux gigantesques observés un peu partout mais on ne s’interroge guère sur les causes immédiates de ces sinistres effrayants. Sauf erreur le climat n’a jamais allumé tout seul la moindre flamme, mais qu’importe, il a bon dos pour servir de bouc émissaire.
Dans le même temps, on assène à longueur de journée, qu’il existe un consensus scientifique incontournable et définitif au sujet du réchauffement climatique et de ses causes, impliquant paraît-il la responsabilité humaine, et sous-entendant généralement celle du capitalisme et du libéralisme.
Pourtant des voix, et pas des moindres, s’élèvent pour proposer un point de vue différent de la doxa et pour proposer des solutions moins destructrices que la tabula rasa des prêcheurs d’apocalypse. John Clauser prix Nobel de physique en 2022 s’est exprimé sans détour sur le sujet, apportant un peu d’eau fraîche au moulin du climato-réalisme. Ses propos, rejoignant ceux de son co-lauréat Alain Aspect, n’en sont pas moins alarmants : “Le discours populaire sur le changement climatique reflète une dangereuse corruption de la science qui menace l’économie mondiale et le bien-être de milliards de personnes. Une science climatique erronée s’est métastasée en une pseudoscience journalistique de choc.”
Hélas on entend peu ce discours de raison, étouffé qu’il est par le bruit assourdissant des moutons de la pensée unique.
Plusieurs livres sortis récemment vont dans le même sens. Notamment celui de Steven E Koonin, qui fut conseiller scientifique à la Maison Blanche du temps du président Obama. Le titre à lui seul est explicite: “Climat, La part d'incertitude”. Il méritera sans doute une analyse à venir dans ce blog. Tout comme l’ouvrage Sapiens et le climat, d’Olivier Postel-Vinay, ancien rédacteur en chef de la revue La Recherche, qui fait œuvre de paléo-climatologue en analysant sans idéologie préconçue, l’évolution chaotique du climat depuis des millénaires.
Pendant ce temps, le gouvernement persévère dans les contradictions et le non-sens. Elisabeth Borne était toute fière d'annoncer il y a deux ans à peine la fermeture de la centrale de Fessenheim, au nom de la transition énergétique. Aujourd’hui, elle fait sien le programme de renucléarisation massif du Président de la République.
Cela ne l’empêche pas d’annoncer des propositions à venir pour accélérer la réduction des émissions de CO2 dans une perspective catastrophiste de "+4⁰C à l'horizon 2100". Le coût de ces mesures dont l'efficacité serait évidemment négligeable, dépasserait allègrement les 300 milliards d’euros et de toute évidence aurait des conséquences désastreuses sur l’industrie qu’elle affirme vouloir doper…
Décidément, le gouvernement, plus irrationnel et inconséquent que jamais, est en passe de devenir un asile psychiatrique…
Dans le même temps, on assène à longueur de journée, qu’il existe un consensus scientifique incontournable et définitif au sujet du réchauffement climatique et de ses causes, impliquant paraît-il la responsabilité humaine, et sous-entendant généralement celle du capitalisme et du libéralisme.
Pourtant des voix, et pas des moindres, s’élèvent pour proposer un point de vue différent de la doxa et pour proposer des solutions moins destructrices que la tabula rasa des prêcheurs d’apocalypse. John Clauser prix Nobel de physique en 2022 s’est exprimé sans détour sur le sujet, apportant un peu d’eau fraîche au moulin du climato-réalisme. Ses propos, rejoignant ceux de son co-lauréat Alain Aspect, n’en sont pas moins alarmants : “Le discours populaire sur le changement climatique reflète une dangereuse corruption de la science qui menace l’économie mondiale et le bien-être de milliards de personnes. Une science climatique erronée s’est métastasée en une pseudoscience journalistique de choc.”
Hélas on entend peu ce discours de raison, étouffé qu’il est par le bruit assourdissant des moutons de la pensée unique.
Plusieurs livres sortis récemment vont dans le même sens. Notamment celui de Steven E Koonin, qui fut conseiller scientifique à la Maison Blanche du temps du président Obama. Le titre à lui seul est explicite: “Climat, La part d'incertitude”. Il méritera sans doute une analyse à venir dans ce blog. Tout comme l’ouvrage Sapiens et le climat, d’Olivier Postel-Vinay, ancien rédacteur en chef de la revue La Recherche, qui fait œuvre de paléo-climatologue en analysant sans idéologie préconçue, l’évolution chaotique du climat depuis des millénaires.
Pendant ce temps, le gouvernement persévère dans les contradictions et le non-sens. Elisabeth Borne était toute fière d'annoncer il y a deux ans à peine la fermeture de la centrale de Fessenheim, au nom de la transition énergétique. Aujourd’hui, elle fait sien le programme de renucléarisation massif du Président de la République.
Cela ne l’empêche pas d’annoncer des propositions à venir pour accélérer la réduction des émissions de CO2 dans une perspective catastrophiste de "+4⁰C à l'horizon 2100". Le coût de ces mesures dont l'efficacité serait évidemment négligeable, dépasserait allègrement les 300 milliards d’euros et de toute évidence aurait des conséquences désastreuses sur l’industrie qu’elle affirme vouloir doper…
Décidément, le gouvernement, plus irrationnel et inconséquent que jamais, est en passe de devenir un asile psychiatrique…
1 commentaire:
C'est rigolo (si j'ose dire) mais la "pensée unique", n'est-ce pas finalement, la "pensée des autres" ? Et l'appliquez-vous à tous les domaines ? Par exemple, moi je souhaite la victoire de la Russie (ou au minimum, je suis neutre dans cette affaire), je suis donc moi aussi, sur cette question et à votre inverse, à contre-courant de la "pensée unique", non ?
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