La météo est très agréable au Qatar en décembre. Ciel bleu et températures idéales, cela contraste avec nos froidures et nos miasmes hivernaux… Endroit idéal en somme pour la tenue de cette grand-messe populaire qu’est la coupe du monde de football !
En dépit des critiques des censeurs de salon, des appels au boycott par les ligues de petite vertu, le spectacle alla jusqu’à son terme et fut de qualité. L’organisation se révéla irréprochable et même sans être fan de ce sport collectif qui déchaîne tant de passion, tant d’enthousiasme et qui fait couler tant d’argent, il serait un peu niais de bouder son plaisir.
Comment d'ailleurs ne pas se souvenir des toiles splendides de Nicolas Staël, lui qui magnifia cette fantasmagorie des temps modernes après avoir été justement déniaisé lors d’un match au Parc des Princes ! Dans ces tableaux, les contrastes, la couleur et le mouvement, tout concourt à transcender la trivialité de ces gigantesques shows sur gazon.
Cette année encore l’équipe de France mérite assurément les louanges. Elle confirme qu’elle occupe de manière durable par sa solidité et la qualité de son jeu, un rang très élevé au plan international. Bien qu’elle échoua de peu à gagner le trophée, elle exalta durant quelques semaines le vieux fond national qu’on croyait définitivement enseveli. Il en faudra plus pour croire à une vraie reviviscence de la maison France, mais la plus belle équipe ne peut donner que ce qu’elle a…
Après tout les Argentins qui ont atteint le Graal footballistique, ne représentent qu’un pays en perdition, ruiné et politiquement à la dérive.
A côté de ces exploits sportifs, la bêtise politique détonne de manière affligeante. On a vu les maires écolo-gaucho-bobo refuser au peuple tout rassemblement festif au motif d’un boycott stupide. On a vu d’éminentes personnalités et même des ministres afficher avec un courage d’histrion leur soutien à la cause LGBT, pour faire bisquer les autorités qatariennes. On a vu les députés européens voter préventivement des sanctions ineptes contre le pays hôte de ce tournoi, en raison d’une nébuleuse affaire de corruption. Detail exquis, certains d’entre eux, et non des moindres, seraient impliqués... Ils nous diront plus tard qu’ils sont étrangers à l’augmentation des prix du gaz… Dans le même temps, oublieux de l’épisode des Gilets Jaunes, ils ont entériné une nouvelle hausse pour 2027 des taxes sur les produits pétroliers.
Enfin, on a vu notre président Emmanuel Macron qui cherche en toute circonstance à ramener la couverture à lui, se livrer à un insupportable numéro de cabotinage compassionnel auprès des joueurs. On apprit à l’occasion que ses petites virées publicitaires ont coûté 500.000 euros aux contribuables et 53 ans de production de carbone d'un Français.
On aimerait qu’il soit aussi entreprenant pour ramener à la raison les clampins de la SNCF qui semblent s’amuser à mettre à vif les nerfs des usagers au service desquels ils prétendent être…
En dépit des critiques des censeurs de salon, des appels au boycott par les ligues de petite vertu, le spectacle alla jusqu’à son terme et fut de qualité. L’organisation se révéla irréprochable et même sans être fan de ce sport collectif qui déchaîne tant de passion, tant d’enthousiasme et qui fait couler tant d’argent, il serait un peu niais de bouder son plaisir.
Comment d'ailleurs ne pas se souvenir des toiles splendides de Nicolas Staël, lui qui magnifia cette fantasmagorie des temps modernes après avoir été justement déniaisé lors d’un match au Parc des Princes ! Dans ces tableaux, les contrastes, la couleur et le mouvement, tout concourt à transcender la trivialité de ces gigantesques shows sur gazon.
Cette année encore l’équipe de France mérite assurément les louanges. Elle confirme qu’elle occupe de manière durable par sa solidité et la qualité de son jeu, un rang très élevé au plan international. Bien qu’elle échoua de peu à gagner le trophée, elle exalta durant quelques semaines le vieux fond national qu’on croyait définitivement enseveli. Il en faudra plus pour croire à une vraie reviviscence de la maison France, mais la plus belle équipe ne peut donner que ce qu’elle a…
Après tout les Argentins qui ont atteint le Graal footballistique, ne représentent qu’un pays en perdition, ruiné et politiquement à la dérive.
A côté de ces exploits sportifs, la bêtise politique détonne de manière affligeante. On a vu les maires écolo-gaucho-bobo refuser au peuple tout rassemblement festif au motif d’un boycott stupide. On a vu d’éminentes personnalités et même des ministres afficher avec un courage d’histrion leur soutien à la cause LGBT, pour faire bisquer les autorités qatariennes. On a vu les députés européens voter préventivement des sanctions ineptes contre le pays hôte de ce tournoi, en raison d’une nébuleuse affaire de corruption. Detail exquis, certains d’entre eux, et non des moindres, seraient impliqués... Ils nous diront plus tard qu’ils sont étrangers à l’augmentation des prix du gaz… Dans le même temps, oublieux de l’épisode des Gilets Jaunes, ils ont entériné une nouvelle hausse pour 2027 des taxes sur les produits pétroliers.
Enfin, on a vu notre président Emmanuel Macron qui cherche en toute circonstance à ramener la couverture à lui, se livrer à un insupportable numéro de cabotinage compassionnel auprès des joueurs. On apprit à l’occasion que ses petites virées publicitaires ont coûté 500.000 euros aux contribuables et 53 ans de production de carbone d'un Français.
On aimerait qu’il soit aussi entreprenant pour ramener à la raison les clampins de la SNCF qui semblent s’amuser à mettre à vif les nerfs des usagers au service desquels ils prétendent être…