La fausse surprise, savamment orchestrée, de la démission d'Emmanuel Macron s'incrit dans l'actualité comme un épisode de l'interminable agonie du socialisme à la française.
Le nouvel acte (pas le dernier hélas sans doute....) du ballet grotesque offert en spectacle aux Français désabusés par un Pouvoir décadent, à bout de souffle, déconfit par ses propres échecs et ses ratages.
Après la désertion des plus-tout-à-fait jeunes loups de la Nouvelle Gauche (auto-proclamés « Nouveau Parti Socialiste », voire « Nouveau Monde », en toute simplicité), c'est au tour de l'aile bourgeoise néo-libérale de faire défection en la personne du sémillant ministre de l'Economie (de l'Industrie et du Numérique...).
Pendant ce temps, le Président de la République danse au bord du gouffre. Il continue de jouer la comédie, quasi comme si de rien n’était. Comme si tout était normal. Rien là d'étonnant pour un président tellement normal qu’il lui faut un coiffeur à temps plein pour gonfler et calamistrer les quelques tifs qu’il a sur le crâne !
Cela donne la mesure de l’inconsistance dans laquelle le pays est plongé, à force de se confier à des bouffons de la politique. Sous leur molle férule, la bureaucratie ne s’est jamais si bien portée et l’état de droit se noie dans un fatras législatif insensé. Tandis qu’on voit s’accumuler les périls au dessus de la Nation, que le tissu social se déchire de partout, on en est réduit à recourir à la plus haute juridiction pour statuer sur les tenues de bains portées sur les plages !
Peu importe en somme que M. Macron nous joue à son tour sa sérénade en tentant de faire croire au peuple qu’il est le meilleur. Il fut certes l’artisan de la libéralisation des autocars, mais pour le reste, cela reste bien incertain…
Le nouvel acte (pas le dernier hélas sans doute....) du ballet grotesque offert en spectacle aux Français désabusés par un Pouvoir décadent, à bout de souffle, déconfit par ses propres échecs et ses ratages.
Après la désertion des plus-tout-à-fait jeunes loups de la Nouvelle Gauche (auto-proclamés « Nouveau Parti Socialiste », voire « Nouveau Monde », en toute simplicité), c'est au tour de l'aile bourgeoise néo-libérale de faire défection en la personne du sémillant ministre de l'Economie (de l'Industrie et du Numérique...).
Pendant ce temps, le Président de la République danse au bord du gouffre. Il continue de jouer la comédie, quasi comme si de rien n’était. Comme si tout était normal. Rien là d'étonnant pour un président tellement normal qu’il lui faut un coiffeur à temps plein pour gonfler et calamistrer les quelques tifs qu’il a sur le crâne !
Cela donne la mesure de l’inconsistance dans laquelle le pays est plongé, à force de se confier à des bouffons de la politique. Sous leur molle férule, la bureaucratie ne s’est jamais si bien portée et l’état de droit se noie dans un fatras législatif insensé. Tandis qu’on voit s’accumuler les périls au dessus de la Nation, que le tissu social se déchire de partout, on en est réduit à recourir à la plus haute juridiction pour statuer sur les tenues de bains portées sur les plages !
Peu importe en somme que M. Macron nous joue à son tour sa sérénade en tentant de faire croire au peuple qu’il est le meilleur. Il fut certes l’artisan de la libéralisation des autocars, mais pour le reste, cela reste bien incertain…
On ne saurait dire l’état de l’Opinion, tant on entend tout et son contraire, et tant on sent monter une incommensurable indifférence, masquant peut-être le sourd mugissement de tempêtes à venir…
2 commentaires:
j'adore le titre et le propos
Comme d'habitude on adore le titre et la forme; cette fois moi le fond. Le procès d'intention à l'égard de Mr Macron, me semble gratuit et sans consistance.
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