Dans notre monde vitrifié par le consensus idéologique, on a les triomphes qu’on peut.
Le prix Nobel de littérature a donc été attribué à une Française ! Nono comme diminutif un peu leste pour Annie Ernaux et nono comme diraient les canadiens pour qualifier la niaiserie de certaines personnes…
Chez cette “écrivaine”, “autrice” de surcroît (à moins que cela ne soit “auteure”, allez savoir), ce qui choque le plus, ce n’est pas son look de vieille sorcière confite dans un piteux laisser-aller néo-prolétarien, ce n’est pas non plus le vide intersidéral de son oeuvre, composée de navrantes bluettes tournant exclusivement autour de son nombril, ce n’est même pas son style littéraire, qu’elle-même qualifie, “d’écriture plate”.
Non, c’est surtout l’ineffable futilité des propos qu’elle tient publiquement et les efforts désespérants et désespérés qu’elle fait pour démontrer son engagement, dégoulinant de poncifs révolutionnaires à la petite semaine. Bien sûr, elle penche à gauche, très à gauche même puisqu’elle ne cache pas ses accointances avec la clique à claques de Mélenchon.
Cela lui fait dire à chaque fois qu’on l’interroge, tout et n’importe quoi pourvu que cela serve la cause. Mais cela sonne tellement faux que le résultat est plutôt contre productif. N’est pas Sartre qui veut, aussi faux qu’elle mais avec le talent…
Je n’ai lu d’elle qu’un seul ouvrage, Passion Simple. Dans ce texticule informe, l’égérie du féminisme qu’elle voudrait être, avoue qu’elle prit plaisir à s’asservir corps et âme à un mâle de passage, marié, et apparemment indifférent à sa personne, hormis à l’endroit que la décence m’interdit de nommer ici. Le lecteur peut ainsi juger de la nature de sa soumission volontaire à de nombreux détails inutiles ou scabreux. Entre autres : “j’aurais voulu n’avoir rien d’autre à faire que l’attendre”, “naturellement, je ne me lavais pas avant le lendemain pour garder son sperme…”
Le prix Nobel de littérature a donc été attribué à une Française ! Nono comme diminutif un peu leste pour Annie Ernaux et nono comme diraient les canadiens pour qualifier la niaiserie de certaines personnes…
Chez cette “écrivaine”, “autrice” de surcroît (à moins que cela ne soit “auteure”, allez savoir), ce qui choque le plus, ce n’est pas son look de vieille sorcière confite dans un piteux laisser-aller néo-prolétarien, ce n’est pas non plus le vide intersidéral de son oeuvre, composée de navrantes bluettes tournant exclusivement autour de son nombril, ce n’est même pas son style littéraire, qu’elle-même qualifie, “d’écriture plate”.
Non, c’est surtout l’ineffable futilité des propos qu’elle tient publiquement et les efforts désespérants et désespérés qu’elle fait pour démontrer son engagement, dégoulinant de poncifs révolutionnaires à la petite semaine. Bien sûr, elle penche à gauche, très à gauche même puisqu’elle ne cache pas ses accointances avec la clique à claques de Mélenchon.
Cela lui fait dire à chaque fois qu’on l’interroge, tout et n’importe quoi pourvu que cela serve la cause. Mais cela sonne tellement faux que le résultat est plutôt contre productif. N’est pas Sartre qui veut, aussi faux qu’elle mais avec le talent…
Je n’ai lu d’elle qu’un seul ouvrage, Passion Simple. Dans ce texticule informe, l’égérie du féminisme qu’elle voudrait être, avoue qu’elle prit plaisir à s’asservir corps et âme à un mâle de passage, marié, et apparemment indifférent à sa personne, hormis à l’endroit que la décence m’interdit de nommer ici. Le lecteur peut ainsi juger de la nature de sa soumission volontaire à de nombreux détails inutiles ou scabreux. Entre autres : “j’aurais voulu n’avoir rien d’autre à faire que l’attendre”, “naturellement, je ne me lavais pas avant le lendemain pour garder son sperme…”
Moins féministe, tu meurs !
Lors de son couronnement, Annie Ernaux poussa la cuistrerie jusqu’à s’auto-féliciter tout en raillant son rival malheureux, Michel Houellebecq, dont elle révéla vomir “les idées totalement réactionnaires, antiféministes, et c’est rien de le dire !” Très satisfaite de son petit numéro de haine ordinaire, si bienséante, elle affirma : “Quitte à avoir une audience avec ce prix, étant donné ses idées délétères, franchement, mieux vaut que ce soit moi !” (Huffington Post). Michel Audiard et Georges Brassens qui transcendèrent de manière jubilatoire le concept de c.. ont dû faire plus d’un tour dans leur tombe…
Emmanuel Macron, à l’intention duquel elle claironne un profond mépris, n’est quant à lui pas rancunier, puisqu’il jugea nécessaire de pratiquer le dithyrambe en célébrant avec ce prix prestigieux “la liberté des femmes et des oubliés du siècle.”
Son aptitude à toujours trouver le mot juste lui fit ajouter que la lauréate “rejoint ainsi par ce sacre le grand cercle de Nobel de notre littérature française !”
Dans le même temps ou presque, il annonça, avec le sens de l’à propos et la générosité qu’on lui connaît, la gratuité des préservatifs délivrés en pharmacie, pour les 18-25 ans. Il crut bon même, après réflexion, d’élargir la mesure aux mineurs, en se congratulant d’avoir été l’instigateur “d’une petite révolution en matière de prévention.”
Une très petite révolution alors !
Au diable l’avarice et, comme disait Lavater, “que Dieu préserve ceux qu’ils chérit, des lectures inutiles…”
Lors de son couronnement, Annie Ernaux poussa la cuistrerie jusqu’à s’auto-féliciter tout en raillant son rival malheureux, Michel Houellebecq, dont elle révéla vomir “les idées totalement réactionnaires, antiféministes, et c’est rien de le dire !” Très satisfaite de son petit numéro de haine ordinaire, si bienséante, elle affirma : “Quitte à avoir une audience avec ce prix, étant donné ses idées délétères, franchement, mieux vaut que ce soit moi !” (Huffington Post). Michel Audiard et Georges Brassens qui transcendèrent de manière jubilatoire le concept de c.. ont dû faire plus d’un tour dans leur tombe…
Emmanuel Macron, à l’intention duquel elle claironne un profond mépris, n’est quant à lui pas rancunier, puisqu’il jugea nécessaire de pratiquer le dithyrambe en célébrant avec ce prix prestigieux “la liberté des femmes et des oubliés du siècle.”
Son aptitude à toujours trouver le mot juste lui fit ajouter que la lauréate “rejoint ainsi par ce sacre le grand cercle de Nobel de notre littérature française !”
Dans le même temps ou presque, il annonça, avec le sens de l’à propos et la générosité qu’on lui connaît, la gratuité des préservatifs délivrés en pharmacie, pour les 18-25 ans. Il crut bon même, après réflexion, d’élargir la mesure aux mineurs, en se congratulant d’avoir été l’instigateur “d’une petite révolution en matière de prévention.”
Une très petite révolution alors !
Au diable l’avarice et, comme disait Lavater, “que Dieu préserve ceux qu’ils chérit, des lectures inutiles…”
2 commentaires:
Etonnement comme toi même si à la suite de ce Nobel ,conseillé par R Leyris ( le monde des livres ) j'ai lu "les années" décrits par cette critique littéraire comme étant son meilleur opus .
Effectivement ce livre est beau : 50 ans d'histoire intriquée, la sienne ( elle ne s'en sortira jamais ) et celle des femmes françaises ( ce qui est plus interessant ).
Mais quant au reste , une litanie d'auto-fictions : mon jeune amant; mon avortement .....
Et partout ce sentiment de transfuge social mal assumé comme si la méritocratie républicaine n'avait jamais existé avant elle ou avait disparu .
Ces récits auto-centrés tournent logiquement en rond et disparaitront rapidement de nos mémoires sauf en tant que marqueurs d'une société tellement perdue quant à ses repères qu'elle s'apitoie sur elle même .
Au surplus, le discours qu'elle débita d'une voix monocorde à l'Académie Nobel fut d'une platitude gonflante et ronflante....
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