Pour les amateurs de festivals pyrotechniques, le spectacle depuis quelque temps est dans la rue !
Les voitures brûlent, y compris celles de la police; un peu partout les vitrines des banques et des magasins volent en éclats; les places publiques sont occupées jour et nuit par des hordes barbares où des idéologues à deux balles, ivres d’une hypothétique revanche néo-bolchévique, côtoient les casseurs nihilistes dopés à la bière.
Grèves, dégradations et sabotages sévissent de manière endémique, pendant que dans l’ombre, les terroristes du Jihad ourdissent les plans de leurs prochains massacres.
La France expose au regard du monde ses guérillas urbaines, ses blocages, ses conflits et sa mortelle inertie, tandis que s'étalent les déchirements sordides et les turpitudes discréditant la bande de pieds nickelés qui font office de gouvernants ...
Pourtant, cette flambée insensée de violences qui traverse le pays au gré de sinistres feux d’artifices, ne semble pas vraiment émouvoir les foules. Il faut croire que le peuple s’habitue peu à peu à ces folies répétitives.
Les Pouvoirs Publics ne sont guère plus bouleversés et le Président de la République regarde ces désordres avec indifférence. Il continue comme si de rien n’était, à promener sa bouille satisfaite, en clamant que les choses vont de mieux en mieux, trafiquant sans vergogne à son avantage, les chiffres calamiteux de l'économie et du chômage ! Il est vrai que pas grand monde non plus ne prête attention à cette comédie pré-électorale grotesque. Opéra bouffe surréaliste.
Qu’adviendra-t-il dans un an tout juste, lors de l’élection présidentielle, nul ne saurait le dire, dans cette atmosphère insurrectionnelle. La France est à feu et à sang au motif d’une loi creuse, dont il ne reste à peu près rien, après les multiples amendements et révisions qui l’ont vidée de sa substance, déjà maigre originellement.
Malgré cela, il a fallu en passer par la fameuse procédure du 49.3 pour la promulguer, car en fait de majorité à l’Assemblée Nationale, le gouvernement ne trouve qu’un champ de ruines. Il en est le premier fautif à cause de ses tergiversations, ses contradictions et ses reculades. A cause également de son incompétence qui devient de plus en plus criante. Bien que la Gauche n’ait rien perdu de son arrogance, elle est la proie de convulsions qui la fracassent chaque jour davantage. Le drapeau rouge du socialisme n’est plus qu’un torchon usé s’effilochant au gré des incohérences et des archaïsmes avec lesquels il fut tissé envers et contre tout bon sens.
L’anti-capitalisme n’est qu’un spectre en voie de décomposition. L’antifascisme quant à lui sombre dans l'indécence, avec l’affaire dite Black M où l’on voit une obscure ministre de la culture se plaindre du “retour d’un ordre moral nauséabond” à cause de l’annulation d’un concert de rap, qu'un de ses amis avait programmé, dans un moment d'égarement, pour commémorer la bataille de Verdun !
Est-ce enfin la vraie agonie des mythes de la gauche ? Hollande sera-t-il le dernier roitelet décadent incarnant cette doctrine mortifère ? Emènera-t-il avec lui dans sa déchéance toute la clique disparate de courtisans et d’aigris qui gravitent autour de lui ? On n’ose l’espérer. En attendant, on a l’impression que tout peut arriver à tout moment. Il suffirait d’une étincelle pour embraser le paquebot France, qui pour l’heure continue de se paupériser, et qui n’en finit pas de s'abîmer dans les eaux glauques et froides du déclin.
Les voitures brûlent, y compris celles de la police; un peu partout les vitrines des banques et des magasins volent en éclats; les places publiques sont occupées jour et nuit par des hordes barbares où des idéologues à deux balles, ivres d’une hypothétique revanche néo-bolchévique, côtoient les casseurs nihilistes dopés à la bière.
Grèves, dégradations et sabotages sévissent de manière endémique, pendant que dans l’ombre, les terroristes du Jihad ourdissent les plans de leurs prochains massacres.
La France expose au regard du monde ses guérillas urbaines, ses blocages, ses conflits et sa mortelle inertie, tandis que s'étalent les déchirements sordides et les turpitudes discréditant la bande de pieds nickelés qui font office de gouvernants ...
Pourtant, cette flambée insensée de violences qui traverse le pays au gré de sinistres feux d’artifices, ne semble pas vraiment émouvoir les foules. Il faut croire que le peuple s’habitue peu à peu à ces folies répétitives.
Les Pouvoirs Publics ne sont guère plus bouleversés et le Président de la République regarde ces désordres avec indifférence. Il continue comme si de rien n’était, à promener sa bouille satisfaite, en clamant que les choses vont de mieux en mieux, trafiquant sans vergogne à son avantage, les chiffres calamiteux de l'économie et du chômage ! Il est vrai que pas grand monde non plus ne prête attention à cette comédie pré-électorale grotesque. Opéra bouffe surréaliste.
Qu’adviendra-t-il dans un an tout juste, lors de l’élection présidentielle, nul ne saurait le dire, dans cette atmosphère insurrectionnelle. La France est à feu et à sang au motif d’une loi creuse, dont il ne reste à peu près rien, après les multiples amendements et révisions qui l’ont vidée de sa substance, déjà maigre originellement.
Malgré cela, il a fallu en passer par la fameuse procédure du 49.3 pour la promulguer, car en fait de majorité à l’Assemblée Nationale, le gouvernement ne trouve qu’un champ de ruines. Il en est le premier fautif à cause de ses tergiversations, ses contradictions et ses reculades. A cause également de son incompétence qui devient de plus en plus criante. Bien que la Gauche n’ait rien perdu de son arrogance, elle est la proie de convulsions qui la fracassent chaque jour davantage. Le drapeau rouge du socialisme n’est plus qu’un torchon usé s’effilochant au gré des incohérences et des archaïsmes avec lesquels il fut tissé envers et contre tout bon sens.
L’anti-capitalisme n’est qu’un spectre en voie de décomposition. L’antifascisme quant à lui sombre dans l'indécence, avec l’affaire dite Black M où l’on voit une obscure ministre de la culture se plaindre du “retour d’un ordre moral nauséabond” à cause de l’annulation d’un concert de rap, qu'un de ses amis avait programmé, dans un moment d'égarement, pour commémorer la bataille de Verdun !
Est-ce enfin la vraie agonie des mythes de la gauche ? Hollande sera-t-il le dernier roitelet décadent incarnant cette doctrine mortifère ? Emènera-t-il avec lui dans sa déchéance toute la clique disparate de courtisans et d’aigris qui gravitent autour de lui ? On n’ose l’espérer. En attendant, on a l’impression que tout peut arriver à tout moment. Il suffirait d’une étincelle pour embraser le paquebot France, qui pour l’heure continue de se paupériser, et qui n’en finit pas de s'abîmer dans les eaux glauques et froides du déclin.